Connaissez-vous l’existence des Nephilim ? D’après de nombreux récits historiques, ce sont des enfants nés suite à l’union charnelle entre un fils de Dieu et une simple humaine. On raconte aussi que ces enfants furent longtemps pourchassés par les fils des Dieu car ils ne voulaient pas à faire avec de tels « bâtards ». Sachez, que ce genre de chasse existe toujours à l’heure actuelle. Après cette brève explication, nous allons vous raconter l’histoire de l’un d’eux. En 1996, un enfant naquit à la suite d’une union interdite entre un ange et une mortelle ; à la suite de l’accouchement, la mère décéda – comme toutes les femmes qui mettent au monde des Nephilim – en laissant le soin à amant de protéger leur enfant au péril de ses ailes. Ce qu’il fit, menant le nouveau né devant les portes d’un couvent en France – Lourdes pour être plus précis -. Ce fut un soir pluvieux d’un mois d’automne que des nonnes purent entendre le crie affamé d’un enfant. Lorsque leurs yeux rencontrèrent l’enfant, la mère supérieur trouva au-dessus de la couverture une étrange lettre, lettre qu’elle ouvrit pour lire les informations qui était écrites à l’intérieur. Ses yeux quittèrent la lettre pour rejoindre ceux de l’enfant, elle le regard un bref instant, et daigna enfin de le prendre dans ses bras, ce fut ce soir où l’enfant reçu son prénom. « Tenshi » qui veut dire en réalité « Ange » en japonais. Comme vous pouvez le comprendre, la sœur était de nationalité japonaise. Aux grés de la nuit, les sœurs en commun en accord, décidèrent d’élever l’enfant, allant contre les lois des couvents interdisant tout contact masculin. Elles camouflèrent et élevèrent l’enfant comme une jeune fille ayant de bonnes manières, n’oubliant pas de lui enseigner les valeurs masculines. Les années défilèrent, et l’enfant devint une jeune demoiselle aux longs cheveux rouges comme la braise chaude, et aux yeux aussi rougeoyants que le fer venant d’être chauffé, rappelant agréablement sa peau bronzée. Une jeune demoiselle plaine de vie, ne manquant pas un instant de faire une bêtise aux sœurs, ou aux personnes qui venaient faire leur pèlerinage. Au point d’oublier qu’elle devait faire attention à ne pas divulguer sa véritable identité. Une identité que son familier tentait à chaque instant de protéger – un chat noir -. Un soir, à ses 14 ans, « elle » fit un rêve étrange où « elle » volait dans les airs en ayant deux immenses ailes dans son dos, l’une était noire et l’autre blanche ; elle volait sous une autre apparence, ses cheveux qui était habituellement rouges, s’était peint d’une étrange couleur jaune. Lorsqu’elle voulu regarder à quoi pouvait ressembler son visage à cet instant, les ailes disparurent de son dos, laissant ainsi son corps dans une parfaite chute libre, et au moment où son corps était censé se fracasser sur le sol, « elle » se réveillait en sueur. Jusqu’à ses 15 ans, elle faisait le même rêve, rêve qui s’agrandissait à chaque fois. Un rêve qui lui révélait l’existence d’un monde où la guerre faisait encore rage, et où une école avait été construite pour enseigner à des personnes ayant des pouvoirs que la paix était plus intéressante. Ils lui révélaient aussi l’existence d’une famille qui disait être des anges, et puis l’apparition d’une autre famille, un père ange et une mère humaine. Et pire, parfois, « elle » voyait un autre garçon aux cheveux blonds avec qui « elle » aurait vécue une histoire interdite par l’église, enfin surtout par le Saint-Père. Plus les rêves se faisaient insistants, plus « elle » commençait à avoir peur de ce que l’avenir était entrain de lui réserver, une peur si grande qu’un jour de tonnerre, elle décida de rejoindre le couvent où se trouvait sa « mère », qui lui prêta des livres parlants sur les rêves ainsi que les réincarnations, voire le déjà vu. Ce fut le soir de ses 16 ans, que l’ange qui vivait dans ses rêves lui avoua qu’un jour, une personne viendrait le chercher, ou peut-être pas. Tout dépendra du temps, et de la réalité. Au matin de ce rêve, la « jeune demoiselle » se réveilla en sursaut, était-ce ses parents qui viendraient la chercher ? Ou était-ce une personne complètement inconnue ? Elle était apeurée de savoir ce que l’avenir était entrain de lui réserver. Réalité ou folie humaine ?!